Thomas Chase [Gardien] OK

Nom : Chase

Prénom : Thomas

Age : 32

Groupe : gardiens

Présentation physique : Mon corps est plutôt plaisant, excepté à moi-même...
Je mesure 1,80 et je pèse 20 kilos de plus que le 80 de ma taille. Mes beaux cheveux sont à présent transparents dans les regards extérieurs, et en raison de mon sombre état d'âme j'ai demandé au coiffeur d'y dépeindre cela avec son rasoir et j'en ai chaud au coeur de remercier la France et sa célèbre coûtellerie, Gilette... La couleur de mes yeux oscille entre le vert et le gris et ma bouche toujours avide d'alcool et de sexes féminins n'a pas appris à sourire et il faut croire que je suis né l'âme sombre et morose.

Caractère : J'ai un caractère changeant et je suis sans cesse la victime innocente de mes sautes d'humeur, parfois violentes. Les personnes qui m'entourent n'existent que parce qu'ils le croyent eux-même et tout ce qui m'importe est ma personne et mes aspirations. Je n'ai que faire des autres et de leur monde corrompu et d'ailleurs je hais les femmes facteur premier de corruption dans le monde vivants duquel je m'évade lorsque je m'enivre et tabasse ces petits êtres pervers à coups de matraque, aidé en cela par le voile nocturne qui couvre mes écarts policiers et ne laisse de traces que sur les corps soumis au fer de mon instrument. Après tout où est le mal de montrer à ces êtres vicieux aux corps tentateurs, la route de la rédemption ? En fait je pourrais presque dire que je suis un chic type et ces âmes en peine sujettes aux tentations propres à leur sexe à juste titre qualifié de faible, ne me témoignent aucunément la gratitude qu'elle devraient avoir à mon égard. Les ingrates ! Les femmes sont des démons que seuls assujetissent les forts, c'est pourquoi j'ai demandé mon affectation à cette prison car on la dit infernale et on y prétend même que tous les traitements sont autorisés sur les prisonniers. J'ai cru lire "inhumains" dans la presse et lorsque j'ai postulé j'ai sincèrement écrit "inhumain" à ma plus grande qualité.

Votre histoire : J'ai grandi en Irlande du Nord, ma mère m'a mis au monde en me dissimulant toutes traces de la réelle paternité d'un touriste américain. Je me suis cru l'enfant légitime de Moebius Parker jusqu'à l'âge de 18 ans où je découvris que ce père fantoche bourgeois à la solde de l'Angleterre et le médiocre employé d'un journal irlandais n'était en réalité qu'un des multiples amours de ma mère, un de ceux qui contribuaient à son confort matériel par des donnations diverses sur son compte bancaire. Ma mère, cette honorable putain qui m'a mis au monde n'a jamais connu d'autre fortune que celle de son corps et je fus le fruit de ses charmes et commerce équitable avec un de ces marins de la navy venus en renfort en Irlande. C'était sans compter sur l'accueil des femmes irlandaises et de leur bonté à l'égard des troupes de tous bords et de toutes les causes. Je naquis un décembre particulièrement froid d'après ce qu'elle a bien voulu me dire dans une auberge servant de maison de passe pour les militaires étrangers. Mais j'étais bien l'enfant de cet irlandais client de longue date toujours selon ses dires de l'époque. Je poursuivis mon enfance dans la banlieue où j'étais né et je pris le peu glorieux chemin de la maison de correction lorsque excedé par les "amis" de ma mère, je corrigeais celle-ci avec une ceinture large et rigide qui ressemblait assez à un ceinturon de soldat. Celà me permit de connaître la vérité sur mon réel paternel mais m'empêcha de poursuivre une enfance normale en compagnie de mes amis d'enfance puisque je me retrouvais bien vite en centre de redressement où je fus un élève modèle qui heureux de son nouvel environnement poussa ses juges à lui donner les meilleures appréciations. Les études ne m'avaient jamais plues mais décidé à quitter au plus vite cet endroit je fis bonne mine à mauvais jeu et lorsque je pris enfin conscience du temps passé dans ces murs, l'on venait me signifier ma sortie. Je partais presque avec regret de ce lieu de privations car d'autres plus grandes m'attendaient dehors et je n'étais guère pressé de rejoindre le monde normal. Biezn sûr lorsque je posais mon baluchon sur le sol de notre maison et que ma mère m'apperçut elle savait que j'allais demander des comptes au sujet de mon père et sans doute vouloir me venger mais elle se trompait car j'en avais fini avec elle. Le sort l'avait battue assez dans son ignoble métier et je la laissais à ses occupations de femme facile, désireux que j'étais de retrouver mon véritable père.

Je m'embarquais à bord d'un avion de transport militaire non parce que j'étais devenu un personnage important, mais en raison du peu d'argent que je possédais et je partis à la découverte de ce pays lointain d'où provenait mon père. Lorsque je mis pour la première fois le pied sur le sol américain, l'accueil ne me fut pas des plus chaleureux, les habitants étant fortement excédés par l'arrivée continuelle de nouveaux immigrés mais j'obtins avec facilité ma nationalité des autorités locales qui me mirent aussitôt sur la trace de mon géniteur, ce père presqu'inconnu duquel je possédais une photographie usée et noircie par la fumée.

Je ne retrouvai pas mon père en vie ni même sa dépouille et l'on ne voulut rien me dire dans quelles circonstanxces il mourrut ni le lieu de sa mort. Il n'existait pas même de version officielle à celle-ci et dans les archives du ministère de l'intérieur je parvins avec grande peine à trouver l'inscription "porté disparu". Je m'en allais vaquer à mes affaires et je devais de me trouver rapidement un logement et une occupation qui me permette de vivre honorablement et donc je rentrais à l'académie de police que je terminais sans grand mal mais ma joie fut d'assez courte durée car les recrutteurs du SWAT étaient fort intéressés de ma personne et outre le salaire fort attrayant qu'ils offraient à leurs nouvelles recrues, le prestige de cette unité d'élite et la perspective de m'établir à Los Angeles eurent tôt fait de me convaincre.

En exercice sur les côtes d'une île prison, je vis par delà les murs ce que mon imagination malade et fort avide de vengeance sur la gent féminine me montrait, des femmes détenues ensemble avec des hommes. Aussi suite à cela je poussais ma curiosité davantage et je demandais à mes supérieurs qu'en était-il réellement de cette île prison et ce qu'il s'y passait vraiment mais en ce temps là je n'avais guère de raison d'abandonner un poste qui me convenait à merveille. Aussi je fréquentais les maisons de passe du coin en civil et en guise de payement pour mon silence je pouvais sévir sur l'une ou l'autres des putains qui me plaisaient plus que les autres. La tenancière des lieux fermait l'oeil se sachant menacée à tout moment non pas de répression policière mais plus spécialement de la mienne. Cette vie m'amusait et me convenait mais je gravis rapidement les échelons et lorsque je montais au grade de sergent chef de mon unité, ma réputation n'étant plus à refaire je reçus une agréable et inespérée nouvelle de mes supérieurs. On me proposait de m'affecter sur l'île prison et par cela ils se débarrassaient ainsi de moi sans faire de vagues officiellement au sujet de ma brutalité à l'égard des prostituées et des malfrats en tous genres. Je n'étais pas enclin au compromis et pafois je comettais de petites bavures qui ternissaient la réputation de mon unité mais sans pour autant laisser de traces qui m'auraient valu le renvoi dans les règles. Je saisis la chance qui m'était donnée de sévir sans craintes d'enfreindre un quelconque règlement dans la cour des femmes, et je m'apprêtais à partir en croisade contre les corps et les esprits de ces démons tentateurs. J'avais hâte d'arriver et lorsqu'on m'annonça à la hâte qu'on allait me transporter par voie hélioportée dans cet endroit fantasque, je ressentis une joie intérieure indescriptible et je me léchais les babines avec envie de la souffrance que j'allais enfin pouvoir infliger à ces misérables criminelles. Enfin, allais je pouvoir joindre l'untile à l'agréable en toute légalité et qui plus est, du moins j'en étais convaincu, ces pouffiasses allaient aimer ça. Il ressortait du courrier que j'avais reçu par mes supérieurs, que je devais exercer la fonction de gardien des ces dames et demoiselles et qu'à cette fin j'allais recevoir avant de m'embarquer mon équipement et mes outils de travail. On me remit un uniforme, une matraque et le beretta 9mm noir que j'avais demandé et une longue lampe de poche en acier trempé qui émerveilla mon regard car je pensais tout de suite à l'usage irrégulier que je pourrais en faire une fois dans l'enceinte de la prison ou plutôt dans celle des cellules qui allaient avoir ma préférence.Je me gardais bien de dévoiler à mes nouveaux employeurs mes qualités civiles comme le goût pour l'alcool et le sadisme, mais il m'est passé à l'esprit la pensée incongrue que fort bien renseignés sur ma personne ils m'avaient choisi surtout pour cela.

Il faisait encore jour lorsque l'hélicoptère de la police me déposa dans cet endroit et je m'apperçus à peine de son décollage immédiat.

Raison de votre présence à la prison :

Signes particuliers : J'ai tatoué sur mon torse et bassin, une phrase que mes ennemies femmes devront bien encrer dans leurs esprits lorsqu'elles feront l'agréable découverte de mon corps. "Dans la pratique de l'injustice, vos meilleurs professeurs sont vos ennemis".

Nom de votre avatar : Bruce Willis

Vos disponibilités pour poster : Variable

Mots de passe : OK -Jude-

Comment avez vous connu le forum ? Par sa fondatrice, pardi !

Eh bien... Une histoire très riche et complète. Bienvenue à toi.

Bienvenue !
Un si bel homme..

J'ai rêvé ou est-ce qu'un détenu m'a causé ?

Va astiquer les couloirs plutôt que de souhaiter la bienvenue aux gardiens, petit insecte !

Chère Emma Gilmore...

Et toi yeux bridés tu veux des coups de matraque ?

T'aurais pas dû faire des conneries, ici l'immigration est représentée par Thomas Chase.

Monsieur X ? Non mais attends au moins que je te viole après tu pourras vanter mes mérites de cette façon.
Ces asiatiques ! Aucune tenue.

Enfin ! Désiré est arrivé, enfin je voulais dire Thomas.

Bienvenue méchant !

Chère Emma oui?
Le fond de ta pensée cher Male ?